- مقبرة الامتياز أو الكوليرا بوهران
- Oran, cimetière des concessions ou des cholériques
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- Oran, cimetière des concessions ou des cholériques
- Orán, cementerio de concesiones o cólera
- Histoire Choléra-morbus à Oran.
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- Orán, cementerio de concesiones o cólera
- Histoire Choléra-morbus à Oran.
مقبرة الإمتياز بوهران
cimetière des concessions
cementerio de concesiones
مقبرة الإمتياز أومقبرة الكوليرا بوهران
كانت هذه المقبرة في الأصل عبارة عن برج مراقبة و جزء لا يتجزأ من تحصينات مدينة وهران الذي يعود تاريخه إلى ما قبل القرن الثامن عشر ، الواقعة على طريق وادي رأس العين ، وبعد وباء الكوليرا (الوباء الذي أدخله المهاجرون من قرطاجنة وجبل طارق) الذي أصاب المنطقة الوهرانية في بداية العام 1835 ، تحول هذا المكان إلى مقبرة إستقبلت في الغالب الشخصيات الذين توفوا بهذا الوباء. ومن بين هذه الشخصيات الهامة المدفونة في هذه المقبرة نائب قنصل إنجلترا ويلسفورد ورجال الكنيسة، وكان الإعتقاد السائد عندهم يومئذ أن هذا الحدث كان لعنة وعقاب من السماء ، فقرر رجال الكنيسة في ذلك الوقت بناء كنيسة على مرتفعات وهران لحماية أنفسهم من هذا الوباء و أصبح الآن مصلى من سانتا ماريا المعروفة باسم سانتا كروز (lala meryama oranais).، وقد نقل بعضهم الى حديقة المستشفى العسكري بوهران.
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cimetière des concessions
cementerio de concesiones
مقبرة الإمتياز أومقبرة الكوليرا بوهران
كانت هذه المقبرة في الأصل عبارة عن برج مراقبة و جزء لا يتجزأ من تحصينات مدينة وهران الذي يعود تاريخه إلى ما قبل القرن الثامن عشر ، الواقعة على طريق وادي رأس العين ، وبعد وباء الكوليرا (الوباء الذي أدخله المهاجرون من قرطاجنة وجبل طارق) الذي أصاب المنطقة الوهرانية في بداية العام 1835 ، تحول هذا المكان إلى مقبرة إستقبلت في الغالب الشخصيات الذين توفوا بهذا الوباء. ومن بين هذه الشخصيات الهامة المدفونة في هذه المقبرة نائب قنصل إنجلترا ويلسفورد ورجال الكنيسة، وكان الإعتقاد السائد عندهم يومئذ أن هذا الحدث كان لعنة وعقاب من السماء ، فقرر رجال الكنيسة في ذلك الوقت بناء كنيسة على مرتفعات وهران لحماية أنفسهم من هذا الوباء و أصبح الآن مصلى من سانتا ماريا المعروفة باسم سانتا كروز (lala meryama oranais).، وقد نقل بعضهم الى حديقة المستشفى العسكري بوهران.
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Oran, cimetière des concessions ou des cholériques
Au départ ce cimetière était un tour de guet faisant partie intégrale des fortifications de la ville d’Oran , situé sur la route du ravin ras el Ain, après l’épidémie de cholera (épidémie introduite par des immigrants venants de Carthagène et Gibraltar) qui a frappé l’Oranie au début de l’année 1835, ce lieu a été transformé en cimetière qui a accueilli en majorité que les notables de la ville décédés suite à cette épidémie; parmi ces personnalités importantes enterrées dans ce cimetière il y a le vice-consul d’Angleterre Welsford et des hommes d’église. (État délabré des lieux, pour quelle raison).
Croyant que cet événement était une malédiction et une punition du ciel, les hommes d’église de l’epoque, ont décidé d’édifier une chapelle sur les hauteurs d’Oran pour se protéger de cette épidémie et ce qui est devenu maintenant la chapelle de Sainte Marie connue sur le nom de Santa Cruz (lala meryama pour les oranais).
Voici quelque nom victimes du cholera du cimetière du ravin vert
NATHANIEL WELSFORD
MIDDELETON MARGARET
JACQUE BOUVAUD
MERE EUGENIE BELLON
LA FAMILE BERTET
LA FAMILLE CAUSSANEL
JACQUES PAUL DAUMAS
LA FAMILLE TERRAS CASTEL
FRANCOIS XAVIER MARTIN
FAMILLE ANDRE CARCAGNO
FAMILLE ANTALEON CARCAGNO
GILLE RONNE
Voici quelque nom victimes du cholera qui ont été transféré du cimetière du ravin vert vers les jardins de l’hôpital militaire d’Oran.
• Corpus inscriptionum ad medicinam biologiamque spectantium : épigraphie
médicale. Tome premier / publié par Raphaël ...
• Corpus inscriptionum ad medicinam biologiamque spectantium : épigraphie
médicale. Tome premier / publié par Raphaël ...
505. — POULLAIN, I.-J.-B., 1797-1849.
A LA MÉMOIRE DU DOCTEUR I. J. B. POULLAIN 1 chirurgien en chef de l'hôpital militaire d'Oran né à Chablis (Yonne), le 12 novembre 1797 — « Après plus de 30 ans de services militaires son dévouement lui fit demander d'être envoyé en Afrique où il fut une des premières victimes du choléra et lorsque le général Pélissier commandant la province d'Oran le pressait de retourner en France pour rétablir sa santé.
« Général, dit-il, où est le mal, le médecin doit rester et mourir.
» Il est resté et il est mort !!! le 16 octobre 1849. »— Saluons sa mémoire !
Inscription gravée sur une plaque tombale, placée le long d'un petit mur à hauteur d'appui, dans le jardin de l'Hôpital militaire d'Oran ; cette plaque se trouvait autrefois dans le cimetière du Ravin vert, à Oran, aujourd'hui déclassé. — Dr BONNETTE, médecin major de lie classe. — Cf. Le Caducée, X, p. 325, 1910.
A LA MÉMOIRE DU DOCTEUR I. J. B. POULLAIN 1 chirurgien en chef de l'hôpital militaire d'Oran né à Chablis (Yonne), le 12 novembre 1797 — « Après plus de 30 ans de services militaires son dévouement lui fit demander d'être envoyé en Afrique où il fut une des premières victimes du choléra et lorsque le général Pélissier commandant la province d'Oran le pressait de retourner en France pour rétablir sa santé.
« Général, dit-il, où est le mal, le médecin doit rester et mourir.
» Il est resté et il est mort !!! le 16 octobre 1849. »— Saluons sa mémoire !
Inscription gravée sur une plaque tombale, placée le long d'un petit mur à hauteur d'appui, dans le jardin de l'Hôpital militaire d'Oran ; cette plaque se trouvait autrefois dans le cimetière du Ravin vert, à Oran, aujourd'hui déclassé. — Dr BONNETTE, médecin major de lie classe. — Cf. Le Caducée, X, p. 325, 1910.
1177. — MORELLE, Eugène, y 1834.
EUGÈNE MORELLE CHIRURGIEN SOUS-AIDE DÉCÉDÉ LE 5 NOVEMBRE 1834.
Inscription de 3 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, eL placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1178. — GALÉANI, Jean-Marie. f 1834.
JEAN MARIE GALEANI NÉ A CoRTE (CORSE) LE 1er JUILLET 1791
EUGÈNE MORELLE CHIRURGIEN SOUS-AIDE DÉCÉDÉ LE 5 NOVEMBRE 1834.
Inscription de 3 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, eL placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1178. — GALÉANI, Jean-Marie. f 1834.
JEAN MARIE GALEANI NÉ A CoRTE (CORSE) LE 1er JUILLET 1791
OFFICIER COMPTABLE DE L'HÔPITAL Mre D'ORAN MORT DU CHOLÉRA | LE 13 OCTODRE 1834|.
Inscription de 5 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. - DL BONNETTE, 1912.
1179. - Madame DELESTRE, 1840.
OB MEMORIAM SOPHIE AUGUSTINÆ SAUTN DUNKERCAN.E CRUDELl MORTE DEFUNCTE 28 SEPTEMBRE 1840
Inscription de 16 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dl' BONNETTE, 1912.
1180. — Madame PLAISANT, t 1849.
Ci Grr | Mme PLAISANT FEMME DU CHIER en MAJOR DE CE NOM MORTE DE L'ÉPIDÉMIE LE 28 OCTOBRE 1849 À L'AGE DE 45 ANS ELLE EMPORTE DANS SA TOMBE LES REGRETS DE SON MARI ET DE SES ENFANTS P. P. S. A.
Inscription de 11 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1181. — VITTON, P.-G.-E., t 1846.ICI REPOSE LE D.-. VITTON P. G. E CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR CHIRURGIEN MAJOR AU 2e SPAHIS DÉCÉDÉ 1 LE 11 JUILLET 1846 TEMOIGNAGE D'AFFECTION ET DE VIFS REGRETS DE SES F.F.DE LA.-. DE L'UNION AF. D'ORAN Inscription de 10 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. Cette épitaphe est surmontée d'un Cygne aux ailes éployées, reposant sur deux branches de Laurier. VITTON était franc-maçon. — Dr BONNETTE, 1912.
Inscription de 5 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. - DL BONNETTE, 1912.
1179. - Madame DELESTRE, 1840.
OB MEMORIAM SOPHIE AUGUSTINÆ SAUTN DUNKERCAN.E CRUDELl MORTE DEFUNCTE 28 SEPTEMBRE 1840
Inscription de 16 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et placée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dl' BONNETTE, 1912.
1180. — Madame PLAISANT, t 1849.
Ci Grr | Mme PLAISANT FEMME DU CHIER en MAJOR DE CE NOM MORTE DE L'ÉPIDÉMIE LE 28 OCTOBRE 1849 À L'AGE DE 45 ANS ELLE EMPORTE DANS SA TOMBE LES REGRETS DE SON MARI ET DE SES ENFANTS P. P. S. A.
Inscription de 11 lignes, gravée sur une pierre tombale extraite du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1181. — VITTON, P.-G.-E., t 1846.ICI REPOSE LE D.-. VITTON P. G. E CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR CHIRURGIEN MAJOR AU 2e SPAHIS DÉCÉDÉ 1 LE 11 JUILLET 1846 TEMOIGNAGE D'AFFECTION ET DE VIFS REGRETS DE SES F.F.DE LA.-. DE L'UNION AF. D'ORAN Inscription de 10 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. Cette épitaphe est surmontée d'un Cygne aux ailes éployées, reposant sur deux branches de Laurier. VITTON était franc-maçon. — Dr BONNETTE, 1912.
1182. — HENNEQUIN, Antoine, f 1849.
CI-GIT ANTOINE HENNEQUIN DÉCÉDÉ LE 1ER NOVEMBRE 1849 CHIRURGIEN MAJOR | AUX SPAHIS D 'ORAN FAISANT FONCTIONS DE CHIRURGIEN EN CHEF DE L'HÔPITAL D'ORAN PENDANT LE CHOLÉRA IL EMPORTE LES REGRETS ÉTERJVELS DE SON FRÈR; ET DE SES SŒURS ET L'ESTIME DE SES CONCITOYENIS.
Inscription de 12 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1183. - GOEDORP, Joseph-Hippolyte, t 1849.
CI Grr Mr GOEDORP JOSEPH, HYPOLITE MÉDECIN ORDINAIRE DE Iere CLASSE A L'HÔPITAL MILIE D'ORAN. DOCTEUR EN MÉDECINE CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR NÉ À AVIGNON (VAUCLUSE) LE 29 MAI 1800 DÉCÉDÉ LE 7 Novembre 1849.
Inscription de 11 lignes, gravée sur une pierre tombale provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran.
CI Grr MARIE ANNE ETELINDE GLES ÉPOUSE DE MR GOEDORP CHEVLIER DE LA LÉGION D'HONNEUR MÉDECIN EN CHEF [ A L'HÔPITAL MILITAIRE D'ORAN DÉCÉDÉE LE 15 MARS 1849.
Inscription de 10 lignes, gravée sur une pierre tombale de même provenance que la précédente et transportée avec elle dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE., Médecin major, 1912.
CI-GIT ANTOINE HENNEQUIN DÉCÉDÉ LE 1ER NOVEMBRE 1849 CHIRURGIEN MAJOR | AUX SPAHIS D 'ORAN FAISANT FONCTIONS DE CHIRURGIEN EN CHEF DE L'HÔPITAL D'ORAN PENDANT LE CHOLÉRA IL EMPORTE LES REGRETS ÉTERJVELS DE SON FRÈR; ET DE SES SŒURS ET L'ESTIME DE SES CONCITOYENIS.
Inscription de 12 lignes, gravée sur une tombe provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE, 1912.
1183. - GOEDORP, Joseph-Hippolyte, t 1849.
CI Grr Mr GOEDORP JOSEPH, HYPOLITE MÉDECIN ORDINAIRE DE Iere CLASSE A L'HÔPITAL MILIE D'ORAN. DOCTEUR EN MÉDECINE CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR NÉ À AVIGNON (VAUCLUSE) LE 29 MAI 1800 DÉCÉDÉ LE 7 Novembre 1849.
Inscription de 11 lignes, gravée sur une pierre tombale provenant du cimetière du Ravin Vert, désaffecté, et transférée en 1898 dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran.
CI Grr MARIE ANNE ETELINDE GLES ÉPOUSE DE MR GOEDORP CHEVLIER DE LA LÉGION D'HONNEUR MÉDECIN EN CHEF [ A L'HÔPITAL MILITAIRE D'ORAN DÉCÉDÉE LE 15 MARS 1849.
Inscription de 10 lignes, gravée sur une pierre tombale de même provenance que la précédente et transportée avec elle dans le jardin de l'hôpital militaire d'Oran. — Dr BONNETTE., Médecin major, 1912.
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Orán, cementerio de concesiones o cólera
Originalmente este cementerio era una atalaya integral de las fortificaciones de la ciudad de Orán, ubicada en la carretera barranco Ras el Ain, luego de la epidemia de cólera (epidemia introducida por inmigrantes de Cartagena y Gibraltar) que golpeó a Oranea a principios del año 1835, este lugar se transformó en un cementerio que acogió en su mayoría que los notables de la ciudad murieron después de esta epidemia; Entre estas personalidades importantes enterradas en este cementerio están el vicecónsul de Inglaterra Welsford y los hombres de la iglesia. (Estado decrépito del local, por qué razón).
Creyendo que este evento fue una maldición y un castigo del cielo, los clérigos de la época decidieron construir una capilla en las alturas de Orán para protegerse de esta epidemia y de lo que ahora es la capilla de Santa María conocida con el nombre de Santa Cruz (lala meryama para los oranais).
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Histoire Choléra-morbus à Oran.
Choléra-morbus à Oran.
Du 26 au 28 septembre 1834, un homme et une femme qui cohabitait avec lui moururent à l'hôpital militaire d'Oran, où ils étaient entrés le 26. Cet homme, employé à la boucherie de l'armée, était le boucher du fort de où il demeurait. Aussitôt qu'il fut malade on le porta à l'hôpital d'Oran, ainsi que la femme avec laquelle il vivait, et attendu que c'était là les premiers cas de choléra, on eut des doutes, sur la nature cholérique de la maladie qui fît périr ces deux individus ; mais la suite prouva qu'on s'était fait illusion.
Cependant) le 29, quatre des condamnés détenus au fort de Mers el-Kebir entrèrent à l'hôpital de ce fort .
L'un d'eux mourut le même jour et les deux autres le lendemain. Deux de ces hommes morts n'avaient été malades que seize heures et l'autre vingt. Les accidents cholériques avaient été trop manifestes pour qu'on pût douter de la présence du choléra à Mers-el -Kebir. Cependant la maladie semblait se borner à ce dernier lieu, rien encore ne s'était manifesté à Oran, et, le 4 octobre, ne comptait que 18 personnes atteintes dont 4 seulement avaient succombé. Parmi les malades était M. Christian chirurgien sous-aide, et parmi les morts M. Marc, pharmacien.
Jusqu'au 5 octobre il n'y avait eu aucun cas de choléra à Oran, et l'on était si persuadé que cette ville en serait exempte, que la commission sanitaire ne balança pas à donner patente nette aux bâtiments qui en partiraient, aussi bien que de Mers el-Kebir; c'est ce que prouve l'extrait de la délibération qui suit.
Orán, cementerio de concesiones o cólera
Originalmente este cementerio era una atalaya integral de las fortificaciones de la ciudad de Orán, ubicada en la carretera barranco Ras el Ain, luego de la epidemia de cólera (epidemia introducida por inmigrantes de Cartagena y Gibraltar) que golpeó a Oranea a principios del año 1835, este lugar se transformó en un cementerio que acogió en su mayoría que los notables de la ciudad murieron después de esta epidemia; Entre estas personalidades importantes enterradas en este cementerio están el vicecónsul de Inglaterra Welsford y los hombres de la iglesia. (Estado decrépito del local, por qué razón).
Creyendo que este evento fue una maldición y un castigo del cielo, los clérigos de la época decidieron construir una capilla en las alturas de Orán para protegerse de esta epidemia y de lo que ahora es la capilla de Santa María conocida con el nombre de Santa Cruz (lala meryama para los oranais).
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Histoire Choléra-morbus à Oran.
Choléra-morbus à Oran.
Du 26 au 28 septembre 1834, un homme et une femme qui cohabitait avec lui moururent à l'hôpital militaire d'Oran, où ils étaient entrés le 26. Cet homme, employé à la boucherie de l'armée, était le boucher du fort de où il demeurait. Aussitôt qu'il fut malade on le porta à l'hôpital d'Oran, ainsi que la femme avec laquelle il vivait, et attendu que c'était là les premiers cas de choléra, on eut des doutes, sur la nature cholérique de la maladie qui fît périr ces deux individus ; mais la suite prouva qu'on s'était fait illusion.
Cependant) le 29, quatre des condamnés détenus au fort de Mers el-Kebir entrèrent à l'hôpital de ce fort .
L'un d'eux mourut le même jour et les deux autres le lendemain. Deux de ces hommes morts n'avaient été malades que seize heures et l'autre vingt. Les accidents cholériques avaient été trop manifestes pour qu'on pût douter de la présence du choléra à Mers-el -Kebir. Cependant la maladie semblait se borner à ce dernier lieu, rien encore ne s'était manifesté à Oran, et, le 4 octobre, ne comptait que 18 personnes atteintes dont 4 seulement avaient succombé. Parmi les malades était M. Christian chirurgien sous-aide, et parmi les morts M. Marc, pharmacien.
Jusqu'au 5 octobre il n'y avait eu aucun cas de choléra à Oran, et l'on était si persuadé que cette ville en serait exempte, que la commission sanitaire ne balança pas à donner patente nette aux bâtiments qui en partiraient, aussi bien que de Mers el-Kebir; c'est ce que prouve l'extrait de la délibération qui suit.
Le 1er octobre 1834, la commission s'étant réunie chez M. le général Desmichels, commandant supérieur, décida que les patentes à délivrer aux bâtiments de l'état et autres, partant d'Oran ou de Mers-el-Kebir, porteraient jusqu'à nouvel ordre :
Quelques cas de choléra sporadique constatés dans l'atelier des condamnés exclusivement, à la suite desquels quatre ont succombé (( au fort de Mers-el-Kebir, près d'Oran, sont attribués à la prédisposition des individus frappé set à l'insalubrité des lieux.
Ces cas, qu'on a eu occasion d'observer pendant les grandes chaleurs dans les hôpitaux d'Alger et même d'Oran les années précédentes, paraissent ne « devoir motiver aucune mesure prohibitive, la santé de la garnison et de la population de et d'Oran étant d'ailleurs trèsce satisfaisante.
Quelques cas de choléra sporadique constatés dans l'atelier des condamnés exclusivement, à la suite desquels quatre ont succombé (( au fort de Mers-el-Kebir, près d'Oran, sont attribués à la prédisposition des individus frappé set à l'insalubrité des lieux.
Ces cas, qu'on a eu occasion d'observer pendant les grandes chaleurs dans les hôpitaux d'Alger et même d'Oran les années précédentes, paraissent ne « devoir motiver aucune mesure prohibitive, la santé de la garnison et de la population de et d'Oran étant d'ailleurs trèsce satisfaisante.
• Histoire du choléra-morbus qui a régné dans l'armée française ... Audouard, Mathieu-F
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تحقيق الأستاذ بليل حسني وهواري حاج.الترجمة إلى الإسبانية , فارس محمد
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